ROTORUA : La ville où le diable vit encore ! L’odeur de souffre est partout, des fumeroles, des puits de boues bouillonnantes, des eaux chaudes, le tout avec de belles fleurs et des jardins bien entretenus. C’est aussi vert et propre qu’en Suisse !
WAI-O-TAPU : Là, c’est le grand magasin du diable ! Geyser, grands bains de boue, de souffre, d’eau chaude. Et toutes les couleurs pour vous faire excommunier. Non seulement il y a des tremblements de terre fréquents, mais les volcans vous rappellent qu’ils ne sont pas si endormis que cela.
HUKA FALLS : Là encore la nature se déchaîne : la rivière qui sort d’un lac se précipite avec fureur dans un goulet, le bruit est assourdissant, mais le spectacle vaut le détour. On a trouvé un endroit sympa pour camper sans payer, mais le soir il y avait foule (mais très discrète). En NZ, jusqu’à présent, nous sommes ravis de la quiétude de la vie, pas d’énervement, tout est tranquille, pourvu que cela dure.
WELLINGTON-NELSON : Nous avons sauté une étape prévue en montagne, par bonheur car la route ne fut que pluie et brouillard, et parce que notre date de ferry pour passer dans l’ile du sud était plus tôt que nous imaginions. Une nuit étape à Wellington pour prendre le ferry menant à Picton dans l’ile du sud. La route vers Nelson est bordée de vergers et de vignes, mais il pleut encore… Depuis Auckland, nous n’avons pas vu le soleil, tout est trempé, il fait 19 degré. C’est l’été, les cigales chantent alors les jeunes filles sont en short et débardeur, Celeste est avec sa polaire. En hiver c’est l’inverse, les cigales sont en débardeur et les jeunes filles chantent ! Nelson semble sympa, mais tout est fermé le dimanche.
MOTUEKA : Avant le parc national Abel Tasman, on y fait des provisions. Jolis jardins et maisons coquettes. Et encore la pluie.
FAREWELL : C’est tout au nord de l’ile du sud. Réserve naturelle d’oiseaux migrateurs, le soleil est de retour et les touristes aussi. Plages et baie splendides.
WAINUI : Baie du parc Abel Tasman, petite balade vers une cascade, facile dit le guide. Seulement il y a eu 3 semaines de pluies et de nombreux glissements de terrains. La piste menant au camp est coupée et le sentier « facile » s’est transformé en crapahutage en plusieurs portions. Les vaillantes grenouilles françaises ont surmonté les difficultés !
TAKAKA : De passage pour un restau… Celeste a emprunté un bébé pour avoir un bisou de petite fille (nostalgie d’Eva et Nell)
PUNAKAIKI : et les fameux « pancake rocks », je dirais plutôt « pastilla rochers », où il semble que l’on a empilé consciencieusement de fines couches de roche. Joliment découpés sur le bord de mer, et superbement décorés par une végétation de luxe à l’intérieur des terres. L’emblématique « all blacks » parait inapproprié, nous n’avons pas encore vu un seul noir, et de plus, la couleur dominante du pays est le vert. La circulation est on ne peut plus fluide, pourtant on a eu un « bouchon » .
4 commentaires:
et pendant ce temps là, on pète de froid ici. Et à la Vieille Loye, les canalisations, cumulus, et sanitaires explosent sous la pression de la glace...Enfin, on verra cela en rentrant... Bernard D
Très sympa cet article sur la nouvelle zélande, on revit notre périple avec vous de l'an passé. On croise les doigts pour que le beau temps perce enfin son nez, mais par habitude, la cote ouest est la plus humide du pays.
Bonne continuation
Alban
quand on apprécie la verdure on accepte + facilement la pluie n'est ce pas?
ici à Ffm on ne dégèle pas depuis 10jours avec des -16° la nuit! et comme si ça ne suffisait pas on part en Laponie Finlandaise guetter les aurores boréales à 400km au dessus du cercle polaire. nos amis ne sont peut-être pas monté aussi haut!!!! si????
bisou lydie
Comme dit Alban, on revit tout avec vous! Le camper van à l'air sympathique! Nous avions moins parcouru l'ile du nord, entorse oblige! Mais on espère que le soleil revienne durablement pour découvrir les beautés de l'ile du sud!
Profitez bien,
Lucie
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